Publications by Author: Boughdiri, Mabrouk

2021
Hanini A, Houla Y, DJAIZ F, Chairat I, Boughdiri M, Maamri R, Zagrarni M-F. Characterization of Cenomanian-Turonian oxic facies in Tunisia: sequence stratigraphy and correlation of recorded bioevents. Arabian Journal of Geosciences. 2021;14.Abstract
On the southwestern Tethyan Margin of Tunisia, the well-known anoxic black shale facies of the Cenomanian-Turonian transition contrasts with oxic fossiliferous carbonates, first characterized here as lateral equivalents. In terms of sequence stratigraphy, the analysis of four wisely sampled sections in Central and Southern Tunisia led to interpret these deposits as a transgressive interval (TST). This interval spans the Whiteinella archaeocretacea Zone of foraminifera and is capped with a glauconite-rich highly bioturbated maximum flooding surface (MFS). In the reference section of Oued Bahloul and the Kalaat Senan area of North-Central Tunisia, these deposits overlay a Shelf Margin Wedge made of conglomeratic and bioclastic limestones. In South-Central and Southern Tunisia, the TST is characterized by the onset of oxic facies relaying laminated carbonates with local emergence surfaces. The analysis of both oxic and anoxic facies from the Cenomanian-Turonian transition allows identifying five successive bioevent markers, known elsewhere within the Tethyan domain: the extinction of the foraminifera genus Rotalipora (or Thomasinella), the Heterohelix shift, the Whiteinella proliferation, the filament event, and the appearance of Helvetotruncana helvetica. Among these bioevents, the Heterohelix shift coincides with the transgressive surface, while the filament event announces the maximal flooding surface. These Cenomanian-Turonian transition bioevents are of a particular relevance for regional and long-distance high-resolution correlations.
2019
Djaiz F, Nabil D, Ali ATHAMENA, Lamouri B, Boughdiri M, Belalite H, Abdellah B. Geological Characterization and contibution of Geophysics to the mobilization of water resources in the Ain Djasser basin (South-Sétifien, Algeria NE), ISSN 2052-3408. The Euro-arab Organization for Environment and Water and Desert Researches, International Journal of Environment and WaterThe Euro-arab Organization for Environment and Water and Desert Researches, International Journal of Environment and Water. 2019;Vol. 8 :pp. 66-77.Abstract
Le bassin d’Ain Djasser fait partie de l’ensemble Sud-Sétifien. Ce dernier est représenté par une plaine inter-montagneuse appartenant au bassin des hauts plateaux constantinois. Il est caractérisé par un climat de type méditerranéen. L’hydrologie tributaire du relief est la conséquence directe des eaux de surface et de la fonte des neiges. La synthèse géologique montre un domaine allochtone résultant d’une histoire polyphasée associant les tectoniques atlasique et alpine. Ce dernier est caractérisé par des séries sédimentaires carbonatées colmaté par d’abondantes formations terrigènes. L’alimentation de l’eau souterraine des différentes nappes profondes à semi-profondes provient essentiellement de l’infiltration des eaux de pluies. Ce cortège de roche forme une nappe libre et captive, par endroit recoupée par des forages à des profondeurs de 178 à 330 m, fournissant un débit moyen de 15 l/s. L’interprétation des coupes géoélectriques du bassin montrent, (i) des formations alluvionnaires du mio-plio-quaternaire de quelques dizaines de mètres qui forment un bon aquifère superficiel, (ii) des calcaires fissurés du jurassico-crétacé dont le toit est atteint à des profondeurs variables est un aquifère captif. L’influence d’accidents entre les différents blocs rend possible une éventuelle alimentation des aquifères entres eux. L’analyse litho-stratigraphique montre que le substratum et la couverture sédimentaire ne présentent pas de grandes variations latérales. Par contre, nous observons au niveau des sondages une variation dans l’épaisseur et la lithologie des couches, essentiellement au niveau de la formation du remplissage mio-plio-quaternaire. L’objectif de cette étude réside pour l’essentiel, dans la mobilisation des ressources en eaux superficielles et souterraine pour leurs exploitations dans les domaines agricoles et l’élevage, en vue d’une utilisation rationnelle et planifiée de cet élément vital qu’est l’eau