Comme dans toutes les régions de l’Afrique du Nord, notamment du Maghreb,la région du grand bassin Méllègue a connu au cours des vingt dernières annéesune sécheresse très intense et persistante. Cette sécheressea été caractérisée parun déficit pluviométrique considérable et a eu un impact très négatif sur lesrégimes d’écoulement des oueds et des sources et sur l’alimentation des nappesaquifères. Ce déficit hydro pluviométrique s’est répercuté sur l’ensemble desactivités socio-économiques de cette région surtout sur son développementagricole. Par ailleurs ce phénomène a eu ainsi un impact écologique endégradant, en générale, l’environnementet en favorisant notamment, lapollution des eaux et le dépérissement du milieu naturel. Pour cela, il estimportant de mettre en place une politique qui permettraitd’une partd’accroîtrenos ressources en eauet de les protéger d’autre part.Dans le but de localiser les zones vulnérables à la pollution et leurs origines, descampagnes d’échantillonnage d’eaux et desmesures piézométriques ont étéréalisées pendant les périodes des Hautes et Basses Eaux des années 2005,2006. L’indice de contamination calculé nous a permis de dresser des cartes devulnérabilité sur lesquelles on a distingué trois zones à degré de contaminationcroissant.

Comme dans toutes les régions de l’Afrique du Nord, notamment du Maghreb,la région du grand bassin Méllègue a connu au cours des vingt dernières annéesune sécheresse très intense et persistante. Cette sécheressea été caractérisée parun déficit pluviométrique considérable et a eu un impact très négatif sur lesrégimes d’écoulement des oueds et des sources et sur l’alimentation des nappesaquifères. Ce déficit hydro pluviométrique s’est répercuté sur l’ensemble desactivités socio-économiques de cette région surtout sur son développementagricole. Par ailleurs ce phénomène a eu ainsi un impact écologique endégradant, en générale, l’environnementet en favorisant notamment, lapollution des eaux et le dépérissement du milieu naturel. Pour cela, il estimportant de mettre en place une politique qui permettraitd’une partd’accroîtrenos ressources en eauet de les protéger d’autre part.Dans le but de localiser les zones vulnérables à la pollution et leurs origines, descampagnes d’échantillonnage d’eaux et desmesures piézométriques ont étéréalisées pendant les périodes des Hautes et Basses Eaux des années 2005,2006. L’indice de contamination calculé nous a permis de dresser des cartes devulnérabilité sur lesquelles on a distingué trois zones à degré de contaminationcroissant.

Une nouvelle méthodologie est proposée pour la caractérisation de la vulnérabilité à la pollution des nappes d’eau souterraine libres. Cette méthodologie constitue une amélioration de la méthode DRASTIC, universellement utilisée. La vulnérabilité à la pollution est basée uniquement sur les paramètres relatifs à la recharge, au sol (pente et nature) et à la zone non saturée (faciès et épaisseur) de l’aquifère, tandis que la méthodologie proposé est  basée uniquement sur les paramètres propres à la zone saturée. Cette méthodologie a été appliquée au bassin de l’oued Ksob situé à l’extrême Est Algérien renfermant une nappe fortement sollicité, qui s’étend sur environ 320 km² d’extension. Les résultats ont montré que cette nappe est caractérisée par une vulnérabilité globalement moyenne à faible. Les champs captant d’eau potable (produisant environ 400 l/s) sont par contre situés dans des secteurs de moyenne à forte vulnérabilité à la pollution, leur protection par des périmètres de protection rapprochée et éloignée est recommandée dans les plus brefs délais.

Une nouvelle méthodologie est proposée pour la caractérisation de la vulnérabilité à la pollution des nappes d’eau souterraine libres. Cette méthodologie constitue une amélioration de la méthode DRASTIC, universellement utilisée. La vulnérabilité à la pollution est basée uniquement sur les paramètres relatifs à la recharge, au sol (pente et nature) et à la zone non saturée (faciès et épaisseur) de l’aquifère, tandis que la méthodologie proposé est  basée uniquement sur les paramètres propres à la zone saturée. Cette méthodologie a été appliquée au bassin de l’oued Ksob situé à l’extrême Est Algérien renfermant une nappe fortement sollicité, qui s’étend sur environ 320 km² d’extension. Les résultats ont montré que cette nappe est caractérisée par une vulnérabilité globalement moyenne à faible. Les champs captant d’eau potable (produisant environ 400 l/s) sont par contre situés dans des secteurs de moyenne à forte vulnérabilité à la pollution, leur protection par des périmètres de protection rapprochée et éloignée est recommandée dans les plus brefs délais.