L’aquifère de Hammam Bradaa se situe au Nord-Est de Guelma, Algérie. Cet aquifère représente une ressource stratégique pour la région, ses eaux sont utilisées pour l’AEP des agglomérations limitrophes ; Héliopolis, Guelaat Bousbaa, Nechmaya, El Fedjoudj ainsi que la daïra de Bouchegouf dans la wilaya de Guelma et une partie de la wilaya de Annaba. Du point de vue géologique, les formations rencontrées sont en majeurs partie carbonatées d’âge Crétacé. Le rôle de la prospection électrique est l’identification de la géométrie des formations aquifères ainsi que la variation de leurs résistivités. Ces dernières dépendent de la nature pétrographique, la structure des roches et le degré de la minéralisation des eaux souterraines.

L’objectif principal de cette étude est l’exploitation de la campagne de prospection électrique (ENAGEO, 1993-1994) pour l’étude de la géométrie du système aquifère de Hammam Bradaa et l’identification, par l’occasion, du rôle de la tectonique dans la disposition actuelle des formations composant ce système. Les résultats obtenus sont concluants et indiquent que la région d’étude présente un bassin subsident limitée par des failles d’une orientation Sud-Ouest, Nord-Est, formant un ensemble complexe de Horsts et de Grabens. Cette zone représente un grand réservoir d’eau souterraine constitué par des formations géologiques essentiellement carbonatés plus ou moins fissurées avec présence locale de Karst représentées par des horizons résistant qui favorisent fortement la susceptibilité de potentialités hydriques importantes.

L’aquifère de Hammam Bradaa se situe au Nord-Est de Guelma, Algérie. Cet aquifère représente une ressource stratégique pour la région, ses eaux sont utilisées pour l’AEP des agglomérations limitrophes ; Héliopolis, Guelaat Bousbaa, Nechmaya, El Fedjoudj ainsi que la daïra de Bouchegouf dans la wilaya de Guelma et une partie de la wilaya de Annaba. Du point de vue géologique, les formations rencontrées sont en majeurs partie carbonatées d’âge Crétacé. Le rôle de la prospection électrique est l’identification de la géométrie des formations aquifères ainsi que la variation de leurs résistivités. Ces dernières dépendent de la nature pétrographique, la structure des roches et le degré de la minéralisation des eaux souterraines.

L’objectif principal de cette étude est l’exploitation de la campagne de prospection électrique (ENAGEO, 1993-1994) pour l’étude de la géométrie du système aquifère de Hammam Bradaa et l’identification, par l’occasion, du rôle de la tectonique dans la disposition actuelle des formations composant ce système. Les résultats obtenus sont concluants et indiquent que la région d’étude présente un bassin subsident limitée par des failles d’une orientation Sud-Ouest, Nord-Est, formant un ensemble complexe de Horsts et de Grabens. Cette zone représente un grand réservoir d’eau souterraine constitué par des formations géologiques essentiellement carbonatés plus ou moins fissurées avec présence locale de Karst représentées par des horizons résistant qui favorisent fortement la susceptibilité de potentialités hydriques importantes.

L’aquifère de Hammam Bradaa se situe au Nord-Est de Guelma, Algérie. Cet aquifère représente une ressource stratégique pour la région, ses eaux sont utilisées pour l’AEP des agglomérations limitrophes ; Héliopolis, Guelaat Bousbaa, Nechmaya, El Fedjoudj ainsi que la daïra de Bouchegouf dans la wilaya de Guelma et une partie de la wilaya de Annaba. Du point de vue géologique, les formations rencontrées sont en majeurs partie carbonatées d’âge Crétacé. Le rôle de la prospection électrique est l’identification de la géométrie des formations aquifères ainsi que la variation de leurs résistivités. Ces dernières dépendent de la nature pétrographique, la structure des roches et le degré de la minéralisation des eaux souterraines.

L’objectif principal de cette étude est l’exploitation de la campagne de prospection électrique (ENAGEO, 1993-1994) pour l’étude de la géométrie du système aquifère de Hammam Bradaa et l’identification, par l’occasion, du rôle de la tectonique dans la disposition actuelle des formations composant ce système. Les résultats obtenus sont concluants et indiquent que la région d’étude présente un bassin subsident limitée par des failles d’une orientation Sud-Ouest, Nord-Est, formant un ensemble complexe de Horsts et de Grabens. Cette zone représente un grand réservoir d’eau souterraine constitué par des formations géologiques essentiellement carbonatés plus ou moins fissurées avec présence locale de Karst représentées par des horizons résistant qui favorisent fortement la susceptibilité de potentialités hydriques importantes.

La région de Bouzina se situe au cœur des Aurès, elle appartient aux territoires de la wilaya de Batna, elle s’étend sur une superficie dépassant 293 Km2 . La population développe une agriculture de montagne qui totalise plus de 289 hectares destinés pour l’essentiel aux arboricultures (141 900 arbres) et les cultures maraichères. Les sources d’eau, malgré un débit total de 88l/s, représentent un potentiel important qui participent à l’opération d’irrigation. Nombreuses sont taries après la sécheresse qu’a connu la région. Le synclinal de Bouzina compte dix sources pérennes utilisées par la population locale. Le présent travail s’intéresse à la qualité chimique des eaux de ces sources, l’origine de la minéralisation et leur aptitude à l’irrigation. Le dépouillement des résultats d’analyse chimique indique les groupes suivants :  Les eaux bicarbonatées calciques et magnésiennes représentent 50% des eaux analysées,  Les eaux sulfatées calciques représentent 50% des eaux analysées. Par ailleurs, le rapport entre bicarbonates et sulfates est dans sa majorité proche de « 1 » indiquant des eaux mixtes (mélange entre les deux types d’eau). L’origine de la minéralisation est à la fois le résultat de la dissolution des roches carbonatées et gypsifères, alors que les eaux sont d’excellentes à bonnes qualités pour l’irrigation. Mots clés : Aurès, Bouzina, sources, irrigation, gypsifère, carbonaté.

La région de Bouzina se situe au cœur des Aurès, elle appartient aux territoires de la wilaya de Batna, elle s’étend sur une superficie dépassant 293 Km2 . La population développe une agriculture de montagne qui totalise plus de 289 hectares destinés pour l’essentiel aux arboricultures (141 900 arbres) et les cultures maraichères. Les sources d’eau, malgré un débit total de 88l/s, représentent un potentiel important qui participent à l’opération d’irrigation. Nombreuses sont taries après la sécheresse qu’a connu la région. Le synclinal de Bouzina compte dix sources pérennes utilisées par la population locale. Le présent travail s’intéresse à la qualité chimique des eaux de ces sources, l’origine de la minéralisation et leur aptitude à l’irrigation. Le dépouillement des résultats d’analyse chimique indique les groupes suivants :  Les eaux bicarbonatées calciques et magnésiennes représentent 50% des eaux analysées,  Les eaux sulfatées calciques représentent 50% des eaux analysées. Par ailleurs, le rapport entre bicarbonates et sulfates est dans sa majorité proche de « 1 » indiquant des eaux mixtes (mélange entre les deux types d’eau). L’origine de la minéralisation est à la fois le résultat de la dissolution des roches carbonatées et gypsifères, alors que les eaux sont d’excellentes à bonnes qualités pour l’irrigation. Mots clés : Aurès, Bouzina, sources, irrigation, gypsifère, carbonaté.