La région de Tamanrasset tire la totalité de ces besoins en eau des eaux souterraines, qui sont liés à la formation des alluvions quaternaires et à la formation de socle précambrien constituées de gneiss. L’extension importante des affleurements de roches métamorphiques, Conjointe avec le climat aride ne permet pas de mettre ces aquifère en saturation. Il semble donc nécessaire d’identifier l’aquifère de gneiss’ et déterminer son mode de fonctionnement hydrogéologique et son mode de rechargement. A cette fin la présente étude est basée sur une approche géologique, Hydroclimatologique, hydrogéologique et hydrochimique pour caractériser l’écoulement souterrain dans les gneiss. L’étude géologique montre que la région d’étude est couverte dans sa majeure partie par des formations gneissiques paleoprotérozoïques, recoupées par du granite et d’épanchements basaltiques. Ces formations ont subi plusieurs phases tectoniques qui mettent en évidence des accidents subméridiens de plusieurs kilomètres de long. Les différentes méthodes de prospection permettent de déterminer que l’aquifère des gneiss est lié à la zone altérée et fissurée. L’étude hydroclimatique montre que les inondations de l’oued présentent le seul apport qui permet de recharger ces aquifères. Les caractéristiques hydrogéologiques, hydrochimiques et isotopiques mettent en évidence la superposition horizontale des trois aquifères qui sont l’aquifère des alluvions et l’aquifère de la zone altérée et l’aquifère de socle.

La région de Tamanrasset tire la totalité de ces besoins en eau des eaux souterraines, qui sont liés à la formation des alluvions quaternaires et à la formation de socle précambrien constituées de gneiss. L’extension importante des affleurements de roches métamorphiques, Conjointe avec le climat aride ne permet pas de mettre ces aquifère en saturation. Il semble donc nécessaire d’identifier l’aquifère de gneiss’ et déterminer son mode de fonctionnement hydrogéologique et son mode de rechargement. A cette fin la présente étude est basée sur une approche géologique, Hydroclimatologique, hydrogéologique et hydrochimique pour caractériser l’écoulement souterrain dans les gneiss. L’étude géologique montre que la région d’étude est couverte dans sa majeure partie par des formations gneissiques paleoprotérozoïques, recoupées par du granite et d’épanchements basaltiques. Ces formations ont subi plusieurs phases tectoniques qui mettent en évidence des accidents subméridiens de plusieurs kilomètres de long. Les différentes méthodes de prospection permettent de déterminer que l’aquifère des gneiss est lié à la zone altérée et fissurée. L’étude hydroclimatique montre que les inondations de l’oued présentent le seul apport qui permet de recharger ces aquifères. Les caractéristiques hydrogéologiques, hydrochimiques et isotopiques mettent en évidence la superposition horizontale des trois aquifères qui sont l’aquifère des alluvions et l’aquifère de la zone altérée et l’aquifère de socle.